Le bio, figurez-vous qu’on n’est pas tombé dedans à la naissance ! Ça nous est venu petit à petit.

Après avoir travaillé dans de grandes entreprises — dont on taira les noms ici ! — on a eu une prise de conscience sur nos conditions de travail et sur les orientations que prenaient ces géants. On a eu besoin de retrouver une échelle plus humaine, de donner un sens à notre travail qui serait en accord avec nos valeurs. Et puis il y avait aussi notre côté épicurien qui fait que la bonne nourriture, ça a toujours été notre dada !

Alors on a fait le pari de se dire qu’il valait mieux gagner moins en respectant la terre et l’humain, plutôt que de gagner beaucoup en se rendant malade. Et c’est là que le bio est entré en jeu !